Attaquant Central (AC) Démarré par NakS
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Attaquant Central (AC) Démarré par NakS
Attaquant Central (AC)
Attaquant en retrait :
Les attaquants en retrait décrochent au milieu du terrain pour avoir le ballon et le distribuer ensuite aux autres joueurs ou bien le conserver le temps que ses coéquipiers lancent leurs courses. Très utile que ce soit en tant qu’attaquant de pointe ou dans un duo, l’attaquant en retrait doit être puissant mais aussi un peu créatif. Au besoin, il peut aussi marquer des buts lui-même. A l’image d’un point d’appui, il a tendance à jouer dos au but mais il est plus à l’aise balle au pied plutôt qu’en allant au duel aérien. Généralement, l’attaquant en retrait n’inscrit pas un nombre incroyable de buts, mais comme attaquant de pointe il peut permettre aux milieux créatifs d’exprimer tout leur talent (à l’image de l’équipe de France lors de la CdM98 avec Guivarc’h), ou encore à l’intérieur d’un duo d’attaquants (comme le duo Sheringham – Alan Shearer/Andy Cole).
Exemples contemporains : Carlton Cole (West Ham ; Angleterre) ; John Carew (Aston Villa ; Norvège)
Exemples classiques : Teddy Sheringham (Man Utd ; Angleterre) ; Stéphane Guivarc’h (France)
Attaquant avancé : Ce joueur est généralement sur les genoux du dernier défenseur, cherchant à profiter des ballons en profondeur issus des milieux ou de son partenaire en attaque. Il peut être isolé si l’on joue systématiquement sur lui, aussi aura-t-il besoin de soutien parmi les milieux offensifs ou les attaquants. Généralement rapide, doté d’une technique décente et de grandes qualités de finition, il est un peu plus mobile que le « renard des surfaces » puisqu’il décrochera parfois pour presser les défenseurs ou pour avoir le ballon. Ce joueur est susceptible d’être le meilleur buteur de son équipe et sera au centre de toutes les offensives. Par conséquent, il doit être digne de confiance et être capable de supporter la pression.
Exemples contemporains : Fernando Torres (Liverpool ; Espagne) ; Samuel Eto’o (Inter Milan ; Cameroun)
Exemples classiques : Ronaldo (Real Madrid ; Brésil) ; Gerd Müller (Bayern Munich ; Allemagne de l’Ouest)
Attaquant pivot :
L’attaquant pivot est le grand gabarit de l’attaque qui peut conserver le ballon ou le passer à son partenaire d’attaque. Doté d’une excellente détente, d’un très bon jeu de tête et très puissant, il se situe à l’endroit parfait pour recevoir les longs ballons qui viennent du gardien ou des défenseurs. Il est aussi excellent pour faire trembler les défenses grâce à sa taille sur les centres et les corners. L’attaquant pivot n’a pas besoin d’être le meilleur finisseur du monde ni de posséder une technique hors-du-commun. Sa taille et son physique sont suffisants pour déstabiliser la défense adverse et permettre à ses coéquipiers plus créatifs de marquer des buts. Comme attaquant de pointe, l’attaquant pivot sera éprouvé. Sans soutien, il n’y aura personne pour lui créer des espaces. Cependant, au sein d’un duo d’attaquants, particulièrement avec un attaquant avancé ou un renard des surfaces, il pourra être très efficace.Exemple contemporain
: Emile Heskey (Aston Villa ; Angleterre)
Exemple classique : Jan Koller (République Tchèque)
Renard des surfaces :
Le renard des surfaces est en train de disparaitre dans le paysage du football de haut-niveau, mais il reste de la place pour les joueurs qui ne font « que » marquer des buts. La tendance pour les attaquants a été de décrocher un peu plus ; afin d’aider le milieu de terrain à être plus créatif et d’être en mouvement afin de créer des espaces pour d’autres joueurs. Le renard des surfaces, lui, est peu concerné par ces choses. Son boulot est de rôder autour du point de penalty et de se créer de l’espace au dernier moment pour pouvoir reprendre une balle en profondeur ou un centre. Un bon renard des surfaces peut facilement inscrire 30 buts dans une saison, mais l’équipe doit être construite autour de lui. Il a besoin d’un partenaire d’attaque, au risque d’être totalement isolé, et le milieu doit lui faire beaucoup de passes dans la surface de réparation pour qu’il puisse avoir des occasions de but. Il doit avoir un sang-froid phénoménal, une grande qualité de finition, être régulier et être brillant dans ses appels de balle.
Exemples contemporains : Raùl Gonzales (Real Madrid) ; Michael Owen (Man Utd ; Angleterre)
Exemple classique : Gary Lineker (Angleterre)
Attaquant complet :
De temps en temps, une équipe aura la chance de tomber sur un joueur grand, puissant, rapide, technique, à l’aise au sol comme dans les airs et excellent finisseur. Quand ça arrive, l’équipe dispose de nombreux choix. L’attaquant complet peut jouer seul ou avec un coéquipier. Il peut jouer dos au but ou sur les genoux du dernier défenseur. En fait, lui donner le rôle d’attaquant complet l’autorisera à faire tout ce qu’il pense devoir faire pour aider le milieu de terrain, marquer des buts, et faire des passes décisives à ses coéquipiers. La plupart des équipes n’ont aucun joueur qui puisse assumer ce rôle : mais si c’est votre cas, lui laisser le champ libre pour utiliser toutes ses qualités peut donner un véritable avantage à votre équipe.
Exemple contemporain : Didier Drogba (Chelsea ; Côte d’Ivoire)
Exemple classique : Johan Cruyff (Ajax ; Pays-Bas)
Attaquant défensif :
Quand une équipe joue contre plus forte qu’elle, elle peut avoir besoin d’une aide supplémentaire pour la défense. Une solution est de demander à l’attaquant de se replier autant que possible et de presser le milieu de terrain. En conséquence, l’équipe perdra en efficacité offensive, mais si vous vous attendez à être largement battu ça ne changera pas grand-chose. Le joueur a besoin d’être un tacleur correct, d’être très endurant et d’être capable de mouiller le maillot. S’il est utilisé comme attaquant de pointe, il aura besoin de l’aide du milieu de terrain pour avoir des occasions. Avec un partenaire à l’attaque, il essayera autant que possible de l’alimenter en bons ballons. Outil tactique très utile, l’attaquant défensif est une version encore plus défensive de l’attaquant en retrait. Personne n’a vraiment fait son nom dans cette position, mais il existe plein d’attaquants pouvant occuper ce poste au besoin.Exemple contemporain
: Wayne Rooney (Man Utd ; Angleterre)
Exemple classique : Encore une fois, c’est plus un outil tactique temporaire qu’une position qui peut être occupée sur le long terme comme le long d’une carrière. Ainsi, on peut parler de matchs précis pendant lequel un joueur a excellé dans cette position, mais ils sont une poignée à être des attaquants défensifs « permanents ».
Attaquant de soutien :
Tout comme la version MOC, le trequartista en position d’attaquant cherchera à occuper les espaces libres afin de créer du mouvement pour ses coéquipiers. Ce que beaucoup ont nommé « 4-6-0 » à Rome est probablement un 4-5-1 avec Totti en attaquant de soutien. Occupant une position similaire à celle de l’attaquant intérieur, le trequartista est plus concerné par la création d’occasions, pour ne marquer que si l’occasion se présente, alors que c’est le contraire pour l’attaquant intérieur.
Exemples contemporains : Francesco Totti (AS Roma ; Italie) ; Kaka (Real Madrid ; Brésil)
Exemples classiques : Roberto Baggio (Italie) ; Diego Maradona (Argentina) ; Denis Bergkamp (Arsenal ; Ajax ; Pays-bas) ; Pelé (Brésil)
Attaquant en retrait :
Les attaquants en retrait décrochent au milieu du terrain pour avoir le ballon et le distribuer ensuite aux autres joueurs ou bien le conserver le temps que ses coéquipiers lancent leurs courses. Très utile que ce soit en tant qu’attaquant de pointe ou dans un duo, l’attaquant en retrait doit être puissant mais aussi un peu créatif. Au besoin, il peut aussi marquer des buts lui-même. A l’image d’un point d’appui, il a tendance à jouer dos au but mais il est plus à l’aise balle au pied plutôt qu’en allant au duel aérien. Généralement, l’attaquant en retrait n’inscrit pas un nombre incroyable de buts, mais comme attaquant de pointe il peut permettre aux milieux créatifs d’exprimer tout leur talent (à l’image de l’équipe de France lors de la CdM98 avec Guivarc’h), ou encore à l’intérieur d’un duo d’attaquants (comme le duo Sheringham – Alan Shearer/Andy Cole).
Exemples contemporains : Carlton Cole (West Ham ; Angleterre) ; John Carew (Aston Villa ; Norvège)
Exemples classiques : Teddy Sheringham (Man Utd ; Angleterre) ; Stéphane Guivarc’h (France)
Attaquant avancé : Ce joueur est généralement sur les genoux du dernier défenseur, cherchant à profiter des ballons en profondeur issus des milieux ou de son partenaire en attaque. Il peut être isolé si l’on joue systématiquement sur lui, aussi aura-t-il besoin de soutien parmi les milieux offensifs ou les attaquants. Généralement rapide, doté d’une technique décente et de grandes qualités de finition, il est un peu plus mobile que le « renard des surfaces » puisqu’il décrochera parfois pour presser les défenseurs ou pour avoir le ballon. Ce joueur est susceptible d’être le meilleur buteur de son équipe et sera au centre de toutes les offensives. Par conséquent, il doit être digne de confiance et être capable de supporter la pression.
Exemples contemporains : Fernando Torres (Liverpool ; Espagne) ; Samuel Eto’o (Inter Milan ; Cameroun)
Exemples classiques : Ronaldo (Real Madrid ; Brésil) ; Gerd Müller (Bayern Munich ; Allemagne de l’Ouest)
Attaquant pivot :
L’attaquant pivot est le grand gabarit de l’attaque qui peut conserver le ballon ou le passer à son partenaire d’attaque. Doté d’une excellente détente, d’un très bon jeu de tête et très puissant, il se situe à l’endroit parfait pour recevoir les longs ballons qui viennent du gardien ou des défenseurs. Il est aussi excellent pour faire trembler les défenses grâce à sa taille sur les centres et les corners. L’attaquant pivot n’a pas besoin d’être le meilleur finisseur du monde ni de posséder une technique hors-du-commun. Sa taille et son physique sont suffisants pour déstabiliser la défense adverse et permettre à ses coéquipiers plus créatifs de marquer des buts. Comme attaquant de pointe, l’attaquant pivot sera éprouvé. Sans soutien, il n’y aura personne pour lui créer des espaces. Cependant, au sein d’un duo d’attaquants, particulièrement avec un attaquant avancé ou un renard des surfaces, il pourra être très efficace.Exemple contemporain
: Emile Heskey (Aston Villa ; Angleterre)
Exemple classique : Jan Koller (République Tchèque)
Renard des surfaces :
Le renard des surfaces est en train de disparaitre dans le paysage du football de haut-niveau, mais il reste de la place pour les joueurs qui ne font « que » marquer des buts. La tendance pour les attaquants a été de décrocher un peu plus ; afin d’aider le milieu de terrain à être plus créatif et d’être en mouvement afin de créer des espaces pour d’autres joueurs. Le renard des surfaces, lui, est peu concerné par ces choses. Son boulot est de rôder autour du point de penalty et de se créer de l’espace au dernier moment pour pouvoir reprendre une balle en profondeur ou un centre. Un bon renard des surfaces peut facilement inscrire 30 buts dans une saison, mais l’équipe doit être construite autour de lui. Il a besoin d’un partenaire d’attaque, au risque d’être totalement isolé, et le milieu doit lui faire beaucoup de passes dans la surface de réparation pour qu’il puisse avoir des occasions de but. Il doit avoir un sang-froid phénoménal, une grande qualité de finition, être régulier et être brillant dans ses appels de balle.
Exemples contemporains : Raùl Gonzales (Real Madrid) ; Michael Owen (Man Utd ; Angleterre)
Exemple classique : Gary Lineker (Angleterre)
Attaquant complet :
De temps en temps, une équipe aura la chance de tomber sur un joueur grand, puissant, rapide, technique, à l’aise au sol comme dans les airs et excellent finisseur. Quand ça arrive, l’équipe dispose de nombreux choix. L’attaquant complet peut jouer seul ou avec un coéquipier. Il peut jouer dos au but ou sur les genoux du dernier défenseur. En fait, lui donner le rôle d’attaquant complet l’autorisera à faire tout ce qu’il pense devoir faire pour aider le milieu de terrain, marquer des buts, et faire des passes décisives à ses coéquipiers. La plupart des équipes n’ont aucun joueur qui puisse assumer ce rôle : mais si c’est votre cas, lui laisser le champ libre pour utiliser toutes ses qualités peut donner un véritable avantage à votre équipe.
Exemple contemporain : Didier Drogba (Chelsea ; Côte d’Ivoire)
Exemple classique : Johan Cruyff (Ajax ; Pays-Bas)
Attaquant défensif :
Quand une équipe joue contre plus forte qu’elle, elle peut avoir besoin d’une aide supplémentaire pour la défense. Une solution est de demander à l’attaquant de se replier autant que possible et de presser le milieu de terrain. En conséquence, l’équipe perdra en efficacité offensive, mais si vous vous attendez à être largement battu ça ne changera pas grand-chose. Le joueur a besoin d’être un tacleur correct, d’être très endurant et d’être capable de mouiller le maillot. S’il est utilisé comme attaquant de pointe, il aura besoin de l’aide du milieu de terrain pour avoir des occasions. Avec un partenaire à l’attaque, il essayera autant que possible de l’alimenter en bons ballons. Outil tactique très utile, l’attaquant défensif est une version encore plus défensive de l’attaquant en retrait. Personne n’a vraiment fait son nom dans cette position, mais il existe plein d’attaquants pouvant occuper ce poste au besoin.Exemple contemporain
: Wayne Rooney (Man Utd ; Angleterre)
Exemple classique : Encore une fois, c’est plus un outil tactique temporaire qu’une position qui peut être occupée sur le long terme comme le long d’une carrière. Ainsi, on peut parler de matchs précis pendant lequel un joueur a excellé dans cette position, mais ils sont une poignée à être des attaquants défensifs « permanents ».
Attaquant de soutien :
Tout comme la version MOC, le trequartista en position d’attaquant cherchera à occuper les espaces libres afin de créer du mouvement pour ses coéquipiers. Ce que beaucoup ont nommé « 4-6-0 » à Rome est probablement un 4-5-1 avec Totti en attaquant de soutien. Occupant une position similaire à celle de l’attaquant intérieur, le trequartista est plus concerné par la création d’occasions, pour ne marquer que si l’occasion se présente, alors que c’est le contraire pour l’attaquant intérieur.
Exemples contemporains : Francesco Totti (AS Roma ; Italie) ; Kaka (Real Madrid ; Brésil)
Exemples classiques : Roberto Baggio (Italie) ; Diego Maradona (Argentina) ; Denis Bergkamp (Arsenal ; Ajax ; Pays-bas) ; Pelé (Brésil)
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