L'entrainement dynamique
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L'entrainement dynamique
L'entrainement dynamique
Préambule
Il y a depuis longtemps un quiproquo sur la nature des effets de l'entrainement. Nos joueurs possèdent des notes, et les ateliers d'entrainement se règlent par des crans. Les trucs et astuces nous disent que de favoriser certains aspects selon le poste du joueur améliorera ses compétences. C'est fondamentalement juste ! Mais prête à une profonde confusion dans l'interprétation de son fonctionnement, car les réglages de curseurs ne sont pas des valeurs nettes comme celles des notes des joueurs, mais des intensités. Qu'importe ? Malheureusement, ces intensités ne sont pas non plus des valeurs stables, car elles subiront les variations fluctuantes d'un ensemble de processus. Les graphismes de l'entrainement par exemple n'indiquent pas concrètement un progrès, mais une capacité de travail. Ce qui bien sûr peut favoriser la progression, mais ne nous l'indique pas concrètement en tant que telle. Cela nous indique une "activité", subtile mais impérieuse nuance. Un problème de plomberie Pour mieux nous représenter le processus de l'entrainement, nous devrions le visualiser sous forme "liquide". Les crans sont des vannes, ou des robinets d'ouverture qui vont harmoniser des débits, la distribution d'un "volume" qui est propre à chaque joueur. Notre problème réside dans le fait que chaque joueur ne possède pas le même récipient, ni les mêmes tuyaux, ni les mêmes vannes. Pire ! Pour un même joueur, les ateliers "tuyaux" ne sont même pas standardisés. Et les quelques standards, car il y en a quand même, sont en plus évolutifs ! Pour parfaire l'insoluble, la source que fournie chaque club, et son staff de coachs hydrauliciens est "variable" ... Ouhlala ! Horrible !
En réalité c'est tres simple à gerer. Aussi simple que de remplir une bouteille au robinet, en gerant le bon flux et en evitant que ca deborde. Il faut juste savoir que la bouteille à plusieurs compartiments differents et que le tuyau à plusieurs vannes differentes egalement. Mais heureusement nous avons un manométre et quelques messages d'alertes pour nous informer et nous permettre de le gerer. Les explications qui suivent peuvent vous sembler un peu longues à lire, ce sont quelques principes de base à savoir, il faut tout expliquer. Mais ensuite l'aspect le plus mystérieux du jeu vous semblera alors sans doute le plus simple à gerer avec l'assurance d'en obtenir les meilleurs résultats, autant à l'entrainement qu'en match. Car l'entrainement est indissociable du match !
Merci de votre attention et bonne lecture
L'entrainement doit se regarder comme un volume. Un volume à offrir, par le club et la qualité de son environnement. Un volume à recevoir, par chaque joueur selon ses particularités. L'appréciation des deux est impossible à déterminer avec exactitude, tant l'implication et la fluctuation des éléments sont nombreux et variables.
Ce que nous pouvons faire :
Nous pouvons encourager, l'amélioration de l'environnement à diffuser l'entrainement par :
_ Le nombre et la qualité des coachs
_ L'augmentation de la qualité des structures
_ S'assurer une bonne gestion moral des joueurs
_ De bons résultats
Nous pouvons encourager l'amélioration du potentiel d'acceptation à recevoir l'entrainement, du joueur.
_ Chercher à améliorer les statistiques du joueur en match
_ Respecter l'équilibre entre sa nécessité de jouer et le repos
_ Prendre en compte son âge et les phases d'évolution physiologique que cela implique.
_ Prendre en compte son niveau de professionnalisme, par l'observation de son état d'esprit
_ Modérer en permanence le volume d'entrainement pour chaque joueur individuellement, dans la nécessité du moment, de sa condition.
_ Prendre en compte, les commentaires de son état de forme.
Les paliers de la carrière
4 phases d'âges :
Junior (jusqu’à la signature d'un contrat professionnel) Entre, depuis la signature d'un contrat pro et 24 ans
Entre 24 et 28 ans
Après 28 ans.
Environs ... A chaque règle, ses exceptions et contre exemples, ce qui n'en changent pas le principe. L'âge est un accélérateur ou paradoxalement un ralentisseur de développement. Plus le joueur vieillit moins il progresse vite.
Junior et jusqu'à 24.
La différence entre un contrat de junior ou un contrat pro, se résume au volume global d'entrainement général disponible. Dans les 2 cas, la priorité de l'entrainement doit se concentrer sur les ateliers physiologiques.
Car après 24 ... (26 ans parfois), le développement des attributs physiques s'arrêteront définitivement, même si le potentiel n'est pas atteint. Un contrat, donc, un entrainement junior, limitant le volume des possibilités, et par la nécessité des préférences physiques, observera parfois une légère régression des compétences techniques du joueur par manque d'entrainement dans ces domaines. Ce n'est pas grave, il les rattrapera plus tard, avec l'élargissement de son champ d'entrainement après son passage au contrat professionnel. Jusqu'a 24 ans, privilégier les ateliers physiques.
Après 28 ans ...Environs
S'arrête le développement des attributs techniques également. Il faudra donc entre 24 et 28, privilégier les ateliers techniques. Les ateliers physiques se limitant à de l'entretien, et aux nécessités de la condition immédiate du joueur. En début de partie, chaque joueur à reçu certaines qualités dans chaque attribut, et possède (ou non) un potentiel de développement pré déterminé dans chacun d'entre eux, que nous ignorions. (Sauf à consulter Génie Scout) Après 28 ans ... Tous les développements possibles ayant été atteint, ou s'étant arrêtés en l'état; on peut rééquilibrer si on le désir, les attributs techniques (uniquement). Il suffit de forcer alors, un atelier. Mais ce processus procède d'une redistribution, pas d'ajouts au général. On retire quelque part, pour donner ailleurs (techniques). Cela ne concerne pas les attributs physiques. A partir de 28 ans, peuvent commencer à régresser naturellement les attributs physiques. Ce phénomène s'accélérant après 32 ans. La vitesse et l'amplitude de ce processus régressif dépend de la carrière du joueur, de son activité, si il joue, le niveau des compétitions, résultats, état de forme, moral ... Une bonne gestion de l'entrainement ... Mais on ne peut que le réfréner pas l'empêcher.
Force is all
L'atelier Force. recèle d'un double enjeu, par les attributs qu'il entraine : Activité, Endurance, Force, Qualité physique naturelle. Ces attributs sont à la fois les déclencheurs et les dynamiseurs des capacités sportives du joueur en match et à l'entrainement, non seulement au titre de la saison, mais également de fait, au titre de sa carrière. Ils sont les vecteurs du bon développement des autres attributs. C'est pourquoi, si le taux optimal n’est pas atteint à maturité, les autres attributs, en l'occurrence techniques, ne se développeront plus avec la même amplitude. On l'observe dans Génie Scout, lorsque le PA (Potential Ability) réel, ne correspond plus au PA potentiel. Ils sont les accélérateurs de l'obtention du match exercice en début de saison ou aux retours de blessures. Permet au joueur d'assumer le plus longtemps possible, sa meilleure condition en match. Sa capacité de récupération d'un état de forme d'un match à l'autre. Son volume global d'entrainement potentiel. L'attribut activité est un accélérateur du développement de l'ensemble des attributs. Il augmente son volume d'activité, dans les limites de sa capacité d'endurance. Plus le PA du joueur sera élevé, cad plus son potentiel d'acceptation sera élevé, plus vite il pourra progresser. Cet atelier est il un facteur de blessures ? Pas plus que les autres d'un point de vue intrinsèque. Comme toutes choses en ce jeu, il y a un seuil minimal pour accéder "aux choses", et un seuil maximal à ne pas dépasser. Chaque joueur à une note de potentiel caché de blessure entre 1 et 20 comme toutes les notes. Plus sa note sera haute, plus les outrages d'une mauvaise gestion viendront en augmenter le risque. Un non respect de la Qualité physique du joueur, qui indique la gestion des phases de repos l'augmentera. Un non respect de la gestion de la capacité d'endurance par la récupération de la condition du joueur, l'augmentera. Cela se fait par la modération de son activité général à l'entrainement, et des réglages tactiques fatiguants en match, courses souvent, pressing élevé, marquage strict, que les phénomènes météo viennent amplifier. Il y a d'autres vecteurs pour les blessures, comme l'agressivité du joueur qui motive son engagement "au risque de se blesser" ... Les tacles durs ... On ne peut pas empêcher les blessures, mais essayer de les limiter. C'est le depassement d'un quotient général qui favorise les blessures, en maintenant le joueur "en condition", on réduit les risques.
Le niveau déclencheur
Le match exercice, souvent appelé "pré saison" lorsque l'on parle d'entrainement, ou "retour de blessure". N'est pas une période fixe. C'est un temps de jeu en match minimum que le joueur doit effectuer pour obtenir le déclencheur "prêt à jouer". En forme, prêt à jouer, il utilisera son potentiel complet en match ou à l'entrainement. ( Sous réserve d'être aussi au maximum de sa condition ) Certains joueurs, selon leurs capacités physiologiques auront besoin d'un match, d'autres de cinq ... Le message c'est "prêt à jouer" ou en forme. Sinon ce sera : "à besoin de temps de jeu pour être prêt".; On peut forcer "la force" durant cette brève période, pour accélérer le processus. Mais on risque paradoxalement de réduire la capacité de récupération, donc de ne pas pouvoir enchainer les matchs de "préparations" à un niveau acceptable de condition s'ils sont un peu rapprochés. Tout peut dépendre de la richesse de l'effectif à faire défiler durant cette phase. Dans tous les cas, il faut revenir aussitôt à un régime d'entrainement normal du joueur dés son match exercice, prêt à; jouer, ou en forme, atteint. Les matchs du joueur favorisent sa progression, la nature de la tactique et sans doute les réglages. Un joueur qui ne joue pas, ne progressera pas non plus à l'entrainement comme on pourrait l'espérer. Les matchs amicaux et les matchs de la réserve, ou des "moins de 18" servent à cela : l'acquisition ou le maintien du match exercice. Cet acquis n'est jamais définitif. Toujours selon ses capacités physiologiques, et au delà de 2 semaines sans jouer, cela devient "incertain". Le surmenage Au bout de la chaîne, le faire jouer tous les matchs sans respecter les repos en adéquation avec sa Qualité physique naturelle, réduira ses performances et augmentera ses risques de blessures. Cet attribut indique le nombre de matchs; qu'il peut jouer avant ces effets indésirables. En plus, chaque match accumule un taux de fatigue jusqu'à un taux général de surmenage, qui s'objective par le commentaire 'fatigué", accompagné parfois de "nécessite un long repos". C'est le moment de mettre le joueur au repos par le biais des médias. Décision qu'il acceptera volontiers dans ce cas. Cad sans conséquences sur son moral.Le commentaire "fatigué" est à distinguer dans son contexte, s'il survient à la suite d'un match éreintant, ou en fin de saison.
Le volume de travail
Le volume d'entrainement par atelier; Les crans des ateliers correspondent à un volume d'intensité. L'étude d'un joueur publié sur les forums, à fait une estimation statistique générique, considérant que : _ 7 crans dans un atelier correspondait au niveau de maintien minima, d'entretien, des attributs concernés. _13 crans l'accession à un point permanent de développement. _19 crans d'accéder à 3 points de progression permanent. Que les crans intermédiaires ne rajoutent pas de points, mais des vitesses d'acquisitions. Mais cela ne nous dit pas en combien de temps. Ce sont des variables qui seront fluctuantes selon l'implication de ses capacités, de son environnement, de la gestion de son entraineur. Nous ne le constatons à postériori que lorsque le chiffre de l'attribut change ! Cela renforce par contre la recommandation de Marc Vaughan, la constance est payante. Junior et semi - pros 7, 13, 19 sont des points de références intéressants, pas une fatalité immuable. On le voit sur la progression des jeunes et des semi pros. Car limités par le volume général possible, ils progressent malgré tout. C'est le fait de leur pratique en match. La prédominance des ateliers physiques au besoin de la condition du joueur, ou du développement des jeunes s'ils s'approchent de 13, laissent peu de place, souvent en dessous de 7 aux autres ateliers. Force et Aérobic C'est ici que l'on distingue les deux ateliers physiologiques. C'est l'atelier Force qui possède les attributs déclencheurs. On dira que l'Aérobic est constituée des ateliers techniques de la Force. C'est donc l'atelier Force qui est privilégié pour les semi pros ou les vétérans après 28 ans. Car ils en ont besoin pour l'obtention de la condition. Dans sa page État d'esprit, le joueur peut se plaindre aussi d'un entrainement inadapté. Un manque de l'atelier Force peut en être souvent la cause. Alors, même s'il ne progressera plus dans ces attributs, il n'y a pas de rémission pour la Force. Les jeunes eux, ont besoin des deux ateliers, puisqu'ils courent en priorité après leurs développements jusqu'à 24 ans.
Le coût des ateliers Dans le volume général d'entrainement, le coût des ateliers diffère. Il y a 3 familles:_ Les 2 ateliers physiologiques, Force et Aérobic : facteur de 6 environs._ les 6 ateliers techniques, Gardien, Tactique, Contrôle du ballon, Défense, Attaque, Tirs : facteur de 2 environs_ L'unique atelier, Cps pd arrêtés : facteur de 1 environs.(Sous réserve de variations sensible du dernier opus, mais le principe reste similaire) Cela ne veut pas dire qu’il faut 6 fois plus de coups de pied pour obtenir la même intensité qu'à la Force. Un cran vaut un cran en termes de gain. Simplement au titre du volume générale, les physiologiques coûtent 6 fois plus. L'intérêt de le savoir, réside lorsque l'on réduit le volume général de l'entrainement. Car pour soulager ce général en descendant les ateliers un par un, on sait que pour le même résultat, si l'on descend un cran d'atelier physio, il en faudra 3 pour un atelier technique, ou un dans 3 ateliers techniques, et 6 pour les coups de pieds.
Comment programmer un entrainement ?
Gardiens et joueur de champs
Les gardiens n'ont pas besoin de s'entrainer aux 3 ateliers Défense, Attaque et Tirs Les joueurs de champs n'ont pas besoin de s'entrainer à l'atelier Gardien. Ces vertus cachés se développeront seules et naturellement avec le temps. Cela offre plus de volume général aux Gardiens.
Le réglage du jeu Si l'on suit le protocole de l'étude, en plaçant tous nos curseurs sur 13, cela laisse peut de place aux variations. On peut même tout mettre à 14 environs (ou 15 mais pas pour tous). Un peu plus pour les gardiens, car ils ont moins d'ateliers. Cela simplifie le schéma ! Et propose un entrainement linéaire. Ce qui correspond à 2 ou 3 crans en plus que le principe d'entrainement général du jeu pour l'exploiter à son maximum. Qui voudrait faire autre chose que de progresser dans tous les registres ?
La spécialisation par poste
Il y a d'autres arguments. Faire des choix préférentiels dans les ateliers a plusieurs handicaps. Dans le meilleur des cas, cela va donc ralentir, stopper, ou faire régresser certains aspects du joueur au bénéfice d'autres, censés répondre aux qualités requises pour son rôle, son poste, favoriser notre tactique. Mais est ce bien vrai ? Tous les attributs du jeu fonctionnent par association, et ses attributs complémentaires, leurs ratios d'efficacité en dépendent. Hors ces attributs sont dispersés dans les différents ateliers... En sacrifier un reviendrait à marcher sur une jambe. Si le joueur est à ce poste, c'est sans doute qu'il possède déjà soit les qualités, soit le potentiel pour. Faire un entrainement linéaire n'en changera pas le potentiel. Il n'y a pas d'action de jeu qui ne demande à tout les joueurs, quelque soit son poste, un minimum de qualités, quelles soient offensives, ou défensives. Le temps d'acquisition nous est inconnu et dépend de nombreux facteurs liés aux contextes et à notre gestion. Et les adaptations stratégiques indispensables en match et au cours de la saison en font varier constamment les besoins et les préséances. Mais l'empêchement de la spécialisation dans ce jeu, ne se nourrie pas seulement d'un débat sur les avantages de la versatilité, quoi qu'elle semblerait avantageuse, autre argument. Mais que nous ne pouvons pas savoir à l'avance 2 choses essentielles : La capacité de l'environnement du club à diffuser l'enseignement supposé de l'entrainement. La capacité du joueur à le recevoir. Qui sont, si cela ne suffisait pas, des variables fluctuantes, motivés par une multitude de vecteurs.
Les graphismes du niveau d'entrainement
Viennent parfaitement l'illustrer. Cela ne nous indique pas ce que nous faisons, mais ce que le joueur fait. Où doit-on dire, peut faire ? A moins que ce ne soit, ce que l'environnement peut lui fournir ? ... Ce qui veut dire, qu'en cherchant une spécialisation quelconque par son jeu de préférence, on risque une double punition : de brimer le joueur dans un domaine ou il aurait pu progresser, et de le faire travailler à vide dans un registre, ou soit le joueur n'a pas les aptitudes à recevoir plus, ou quand bien même que le contexte n'ait pas à le lui offrir. Comme nous ne sommes pas en possibilité d'affirmer ni l'un, ni l'autre; la voie du juste milieu est notre seul recours. Il y a qu'une option de certitude, par Génie Scout, qui peut nous indiquer quels attributs ont déjà atteins leurs maximums. Alors on peut se contenter d'un entretien, à condition que ce soit le cas pour tous les attributs contenus dans un même atelier; et favoriser un peu plus les autres.
Les effets de l'entrainement
Les premiers effets ne commencent réellement à se faire sentir qu'a partir du 2e mois après le retour de vacances. Donc cela ne vaut la peine de prendre la température qu'au terme du 3e mois. D'où le principe de la constance. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas modérer la condition et l'état d'esprit ... C'est le principe général qu'il ne faut pas bouleverser.
La zone d'ombre Il y a ici 2 informations que donne Marc Vaughan dans son Hints and Tips 2007 (et depuis rien n'est venu le remettre en cause), qui laisse une voie à l'interprétation. Il dit que lorsque, une des barres du graphisme atteint son maximum, cad tout en haut, c est que le joueur à atteint son maximum. Mais lequel ? De ses attributs compris dans cet atelier de façon définitive ? Ou des possibilités du moment ? Acquis ou à acquérir, en phase d'acquisition ? La seconde, que chaque barre graphique complète, maximale, représente 4 à 6 points d'habileté. Obtenu sur la saison ? Dans tous les attributs de l'atelier ? Ou à obtenir en continuant cet entrainement dans cette voie ? Il dit aussi que dans une même barre graphique à 10 %, tous les attributs qu'elle recèle n'ont pas forcement le même taux de développement, certains peuvent être à 8 %, lorsqu'un autre est à 12 % ... C'est une moyenne. Une lecture à postériori Mais nous avons quelques indices ... Le graphisme nous indique ce que le joueur à fait le mois précèdent. Cliquer sur les barres d'atelier du graphisme pour faire defiler l'evolution du travail du joueur pendant la saison. Lorsque la barre est au maximum c'est qu'il à utiliser l'entrainement diffusé par l'atelier au mieux des possibilités. En regard de notre réglage cela signifie que le rapport entre ce reglage et les potentialités joueur/contexte ont été optimisés. Si la barre est au minimum bas, c'est qu'il ne pourra pas faire mieux. Il faut alors verifier plusieurs indices :; Le joueur a t - il atteint le maximum de ses attributs ( avant 28 ans ), la plénitude de ses objectifs ? Apres 28 ans les attributs techniques se repartissent selon nos reglages, méfiance ! Ou bien, notre réglage à empecher son developpement ? A moins que ce ne soit une limitation du coach, qui ne peut pas lui apprendre plus. Pour quelles raisons ? Compétences du coach, trop de travail pour le coach à l'atelier ? Ou limitation des structures ? Mais il peut y avoir une autre cause lié à la limitation general pouvant être accepté par le joueur. Nous n'avons pas suffisament encouragés cet atelier, et donnés trop aux autres. l'equilibre et la repartition n'est pas correct. Pour le verifier il faut regarder si les notes de cet atelier sont à la baisse. Si les notes sont stables mais que le graphisme est bas, alors tout va bien, il a simplement remplis ses objectifs potentiels.
La condition du joueur et l'entrainement individuel
La disparité des capacités de chaque joueur, ses performances et son historique personnel, ne nous laisse pas d'autre choix que l'entrainement individuel. Tout se gère alors par la condition du joueur. Notre gestion consiste à nous assurer du parfait maintien en condition du joueur, tout au long de la saison. Notre étalon de référence est son % de condition le jour du match suivant. Ou, il est lui - même sélectionné, bien sûr. Il faut que le jour du match suivant, il ait récupérer 100 % de condition, afin d'être prêt pour son match. Si ce n'est pas le cas, il faudra réduire le volume général de son entrainement. S’il récupère 100 % avant le jour du match, on pourra alors l'augmenter.La règle strict du tâtonnement Comme nous savons que chaque joueur possède un agrégat de caractéristiques spécifiques, aucunes règles strictes ne peuvent se formuler en fonction d'un % manquant de condition. C'est la ou les manuels généralement nous dispensent leurs sentences : apprenez à connaitre vos joueurs ... La réduction du volume générale, peut se faire en réduisant un seul atelier à la fois, ou plusieurs et observer effectivement ces effets sur le joueur. Oui, mais lesquels ou lequel choisir ? C'est la ou l'on peut faire une concession volontaire à la spécialisation par choix. Aussi selon l'importance du taux de % manquant, en regard aux coûts des ateliers. Il est difficile d'estimer des rapports entre % de condition et crans ou même coût des ateliers. Est ce qu'un coût de facteur 6 aux ateliers physio compensera 6 % de condition ? C'est toujours la même rengaine, cela dépendra de l'ensemble des capacités de chaque joueur ... Mais on peut essayer ! Comme idée de départ. Parce que, s'il manque 10 % ou 1 %. Dans le 1 %, je regarderai éventuellement plutôt du côté des coups de pied arrêtés ... Rappelons nous aussi ici, les priorités des tranches d'âges. Aussi, la primauté de la Force, pour tous, au moins en suffisance. Et lorsque plus rien ne va, c'est sans doute que celui la, fait défaut. Ce qui peut paraître paradoxale, mais n'oublions pas que c'est un déclencheur. Ce qui fait que parfois, les attributs techniques seront horriblement bas, et qu'il faudra conserver un minimum de Force. Mais généralement le joueur va nous en informer dans son état d'esprit.
État d'esprit et Professionnalisme
Le professionnalisme est une note cachée qui est déterminante dans le potentiel de volume d'activité du joueur, autant en match qu'a l'entrainement. Mais à l'entrainement nous avons un indicateur, dans sa page d'entrainement, l'état d'esprit. Si son commentaire se plaint d'un trop d'entrainement, il faut réduire le volume général jusqu'à ce qu'il ne le signale plus. En l'occurrence c'est ici que la conservation de la force par nécessité de condition, se fera au détriment des ateliers techniques. Son développement se fera plus lentement mais plus surement, et aussi par les effets induits des matchs. C'est ainsi ! Il n'est pas professionnel et vous n'y pouvez rien. Rien d'autre comme entraineur avisé que de le contenter. Ne pas en tenir compte n'améliorera pas les effets sur sa progression, mais par contre allumera un facteur de perte de moral. Ce qui ne se verra peut - être pas, tout de suite. Il peut afficher bon moral pour des causes externes favorables. Comme la fatigue, les effets du moral sont des facteurs cumulatifs. On en constate les changements chaque mois au moment de la publication du rapport d'entrainement mensuel de l'adjoint. (La plupart du temps) Malheureusement, plus la saison avance, plus son taux d'insatisfaction sera grandissant. Il faut donc vérifier tout le monde chaque mois sur cet aspect. Même si vous aviez appliqué une modération qui aurait du être satisfaisante le mois précédent. Il se peut que vous couriez après, toute la saison. Un joueur parfaitement satisfait la plupart du temps, pourrait se révéler soudainement insatisfait en cours de saison ! Mais peut être que vous constaterez que cela pourrait bien correspondre en même temps à la capacité de récupération du joueur qui s'étiole aussi avec l'avancée de la saison. En en traitant un, vous favorisez indirectement positivement l'autre. Toujours ... Selon les joueurs ! Pour illustrer ce propos, on pourrait revenir à celui du préambule, le volume d'entrainement dont le joueur se serait "remplis" en vertu de son potentiel d'acquisition.
En résumé
Entrainement individuel Réglages d'ateliers linéaire, cad tous les ateliers au maximum et de façon équitable. Régulation permanente du volume générale de l'entrainement, selon la condition du joueur le jour du match suivant. Le choix de la diminution des ateliers pour réduire le volume au choix et l'observation de chacun, à défaut de meilleurs informations. Conserver un minimum d'atelier Force après 24 ans, ainsi aux joueurs sous contrat semi - pros et aux mécontents récurrents. Favoriser les 2 ateliers Physiques aux moins de 24 ans Chaque mois vérifier l'état d'esprit de chaque joueur
En conclusion
La gestion individuelle de la condition du joueur d'une sélection à l'autre, par la modération du volume d'entrainement, est la clef. La clef pour exploiter au mieux ses facultés autant en match qu'à l'entrainement. Pour obtenir son meilleur ratio de progression, en minimisant ses risques de blessures. Cela bien sur, en s'assurant du maintien d'un parfait moral du joueur, en commençant, au titre de l'entrainement par celui de son état d'esprit. Et au delà d'une façon générale. Car sans moral plus de progression et mauvaises prestations. Sans évoquer son risque de propagation ...; Sans oublier une bonne rotation, avec les qualités physiques naturelles en ligne de mire. Trop de matchs ruinent les qualités potentielles du joueur; pas assez, tout autant.
Préambule
Il y a depuis longtemps un quiproquo sur la nature des effets de l'entrainement. Nos joueurs possèdent des notes, et les ateliers d'entrainement se règlent par des crans. Les trucs et astuces nous disent que de favoriser certains aspects selon le poste du joueur améliorera ses compétences. C'est fondamentalement juste ! Mais prête à une profonde confusion dans l'interprétation de son fonctionnement, car les réglages de curseurs ne sont pas des valeurs nettes comme celles des notes des joueurs, mais des intensités. Qu'importe ? Malheureusement, ces intensités ne sont pas non plus des valeurs stables, car elles subiront les variations fluctuantes d'un ensemble de processus. Les graphismes de l'entrainement par exemple n'indiquent pas concrètement un progrès, mais une capacité de travail. Ce qui bien sûr peut favoriser la progression, mais ne nous l'indique pas concrètement en tant que telle. Cela nous indique une "activité", subtile mais impérieuse nuance. Un problème de plomberie Pour mieux nous représenter le processus de l'entrainement, nous devrions le visualiser sous forme "liquide". Les crans sont des vannes, ou des robinets d'ouverture qui vont harmoniser des débits, la distribution d'un "volume" qui est propre à chaque joueur. Notre problème réside dans le fait que chaque joueur ne possède pas le même récipient, ni les mêmes tuyaux, ni les mêmes vannes. Pire ! Pour un même joueur, les ateliers "tuyaux" ne sont même pas standardisés. Et les quelques standards, car il y en a quand même, sont en plus évolutifs ! Pour parfaire l'insoluble, la source que fournie chaque club, et son staff de coachs hydrauliciens est "variable" ... Ouhlala ! Horrible !
En réalité c'est tres simple à gerer. Aussi simple que de remplir une bouteille au robinet, en gerant le bon flux et en evitant que ca deborde. Il faut juste savoir que la bouteille à plusieurs compartiments differents et que le tuyau à plusieurs vannes differentes egalement. Mais heureusement nous avons un manométre et quelques messages d'alertes pour nous informer et nous permettre de le gerer. Les explications qui suivent peuvent vous sembler un peu longues à lire, ce sont quelques principes de base à savoir, il faut tout expliquer. Mais ensuite l'aspect le plus mystérieux du jeu vous semblera alors sans doute le plus simple à gerer avec l'assurance d'en obtenir les meilleurs résultats, autant à l'entrainement qu'en match. Car l'entrainement est indissociable du match !
Merci de votre attention et bonne lecture
L'entrainement doit se regarder comme un volume. Un volume à offrir, par le club et la qualité de son environnement. Un volume à recevoir, par chaque joueur selon ses particularités. L'appréciation des deux est impossible à déterminer avec exactitude, tant l'implication et la fluctuation des éléments sont nombreux et variables.
Ce que nous pouvons faire :
Nous pouvons encourager, l'amélioration de l'environnement à diffuser l'entrainement par :
_ Le nombre et la qualité des coachs
_ L'augmentation de la qualité des structures
_ S'assurer une bonne gestion moral des joueurs
_ De bons résultats
Nous pouvons encourager l'amélioration du potentiel d'acceptation à recevoir l'entrainement, du joueur.
_ Chercher à améliorer les statistiques du joueur en match
_ Respecter l'équilibre entre sa nécessité de jouer et le repos
_ Prendre en compte son âge et les phases d'évolution physiologique que cela implique.
_ Prendre en compte son niveau de professionnalisme, par l'observation de son état d'esprit
_ Modérer en permanence le volume d'entrainement pour chaque joueur individuellement, dans la nécessité du moment, de sa condition.
_ Prendre en compte, les commentaires de son état de forme.
Les paliers de la carrière
4 phases d'âges :
Junior (jusqu’à la signature d'un contrat professionnel) Entre, depuis la signature d'un contrat pro et 24 ans
Entre 24 et 28 ans
Après 28 ans.
Environs ... A chaque règle, ses exceptions et contre exemples, ce qui n'en changent pas le principe. L'âge est un accélérateur ou paradoxalement un ralentisseur de développement. Plus le joueur vieillit moins il progresse vite.
Junior et jusqu'à 24.
La différence entre un contrat de junior ou un contrat pro, se résume au volume global d'entrainement général disponible. Dans les 2 cas, la priorité de l'entrainement doit se concentrer sur les ateliers physiologiques.
Car après 24 ... (26 ans parfois), le développement des attributs physiques s'arrêteront définitivement, même si le potentiel n'est pas atteint. Un contrat, donc, un entrainement junior, limitant le volume des possibilités, et par la nécessité des préférences physiques, observera parfois une légère régression des compétences techniques du joueur par manque d'entrainement dans ces domaines. Ce n'est pas grave, il les rattrapera plus tard, avec l'élargissement de son champ d'entrainement après son passage au contrat professionnel. Jusqu'a 24 ans, privilégier les ateliers physiques.
Après 28 ans ...Environs
S'arrête le développement des attributs techniques également. Il faudra donc entre 24 et 28, privilégier les ateliers techniques. Les ateliers physiques se limitant à de l'entretien, et aux nécessités de la condition immédiate du joueur. En début de partie, chaque joueur à reçu certaines qualités dans chaque attribut, et possède (ou non) un potentiel de développement pré déterminé dans chacun d'entre eux, que nous ignorions. (Sauf à consulter Génie Scout) Après 28 ans ... Tous les développements possibles ayant été atteint, ou s'étant arrêtés en l'état; on peut rééquilibrer si on le désir, les attributs techniques (uniquement). Il suffit de forcer alors, un atelier. Mais ce processus procède d'une redistribution, pas d'ajouts au général. On retire quelque part, pour donner ailleurs (techniques). Cela ne concerne pas les attributs physiques. A partir de 28 ans, peuvent commencer à régresser naturellement les attributs physiques. Ce phénomène s'accélérant après 32 ans. La vitesse et l'amplitude de ce processus régressif dépend de la carrière du joueur, de son activité, si il joue, le niveau des compétitions, résultats, état de forme, moral ... Une bonne gestion de l'entrainement ... Mais on ne peut que le réfréner pas l'empêcher.
Force is all
L'atelier Force. recèle d'un double enjeu, par les attributs qu'il entraine : Activité, Endurance, Force, Qualité physique naturelle. Ces attributs sont à la fois les déclencheurs et les dynamiseurs des capacités sportives du joueur en match et à l'entrainement, non seulement au titre de la saison, mais également de fait, au titre de sa carrière. Ils sont les vecteurs du bon développement des autres attributs. C'est pourquoi, si le taux optimal n’est pas atteint à maturité, les autres attributs, en l'occurrence techniques, ne se développeront plus avec la même amplitude. On l'observe dans Génie Scout, lorsque le PA (Potential Ability) réel, ne correspond plus au PA potentiel. Ils sont les accélérateurs de l'obtention du match exercice en début de saison ou aux retours de blessures. Permet au joueur d'assumer le plus longtemps possible, sa meilleure condition en match. Sa capacité de récupération d'un état de forme d'un match à l'autre. Son volume global d'entrainement potentiel. L'attribut activité est un accélérateur du développement de l'ensemble des attributs. Il augmente son volume d'activité, dans les limites de sa capacité d'endurance. Plus le PA du joueur sera élevé, cad plus son potentiel d'acceptation sera élevé, plus vite il pourra progresser. Cet atelier est il un facteur de blessures ? Pas plus que les autres d'un point de vue intrinsèque. Comme toutes choses en ce jeu, il y a un seuil minimal pour accéder "aux choses", et un seuil maximal à ne pas dépasser. Chaque joueur à une note de potentiel caché de blessure entre 1 et 20 comme toutes les notes. Plus sa note sera haute, plus les outrages d'une mauvaise gestion viendront en augmenter le risque. Un non respect de la Qualité physique du joueur, qui indique la gestion des phases de repos l'augmentera. Un non respect de la gestion de la capacité d'endurance par la récupération de la condition du joueur, l'augmentera. Cela se fait par la modération de son activité général à l'entrainement, et des réglages tactiques fatiguants en match, courses souvent, pressing élevé, marquage strict, que les phénomènes météo viennent amplifier. Il y a d'autres vecteurs pour les blessures, comme l'agressivité du joueur qui motive son engagement "au risque de se blesser" ... Les tacles durs ... On ne peut pas empêcher les blessures, mais essayer de les limiter. C'est le depassement d'un quotient général qui favorise les blessures, en maintenant le joueur "en condition", on réduit les risques.
Le niveau déclencheur
Le match exercice, souvent appelé "pré saison" lorsque l'on parle d'entrainement, ou "retour de blessure". N'est pas une période fixe. C'est un temps de jeu en match minimum que le joueur doit effectuer pour obtenir le déclencheur "prêt à jouer". En forme, prêt à jouer, il utilisera son potentiel complet en match ou à l'entrainement. ( Sous réserve d'être aussi au maximum de sa condition ) Certains joueurs, selon leurs capacités physiologiques auront besoin d'un match, d'autres de cinq ... Le message c'est "prêt à jouer" ou en forme. Sinon ce sera : "à besoin de temps de jeu pour être prêt".; On peut forcer "la force" durant cette brève période, pour accélérer le processus. Mais on risque paradoxalement de réduire la capacité de récupération, donc de ne pas pouvoir enchainer les matchs de "préparations" à un niveau acceptable de condition s'ils sont un peu rapprochés. Tout peut dépendre de la richesse de l'effectif à faire défiler durant cette phase. Dans tous les cas, il faut revenir aussitôt à un régime d'entrainement normal du joueur dés son match exercice, prêt à; jouer, ou en forme, atteint. Les matchs du joueur favorisent sa progression, la nature de la tactique et sans doute les réglages. Un joueur qui ne joue pas, ne progressera pas non plus à l'entrainement comme on pourrait l'espérer. Les matchs amicaux et les matchs de la réserve, ou des "moins de 18" servent à cela : l'acquisition ou le maintien du match exercice. Cet acquis n'est jamais définitif. Toujours selon ses capacités physiologiques, et au delà de 2 semaines sans jouer, cela devient "incertain". Le surmenage Au bout de la chaîne, le faire jouer tous les matchs sans respecter les repos en adéquation avec sa Qualité physique naturelle, réduira ses performances et augmentera ses risques de blessures. Cet attribut indique le nombre de matchs; qu'il peut jouer avant ces effets indésirables. En plus, chaque match accumule un taux de fatigue jusqu'à un taux général de surmenage, qui s'objective par le commentaire 'fatigué", accompagné parfois de "nécessite un long repos". C'est le moment de mettre le joueur au repos par le biais des médias. Décision qu'il acceptera volontiers dans ce cas. Cad sans conséquences sur son moral.Le commentaire "fatigué" est à distinguer dans son contexte, s'il survient à la suite d'un match éreintant, ou en fin de saison.
Le volume de travail
Le volume d'entrainement par atelier; Les crans des ateliers correspondent à un volume d'intensité. L'étude d'un joueur publié sur les forums, à fait une estimation statistique générique, considérant que : _ 7 crans dans un atelier correspondait au niveau de maintien minima, d'entretien, des attributs concernés. _13 crans l'accession à un point permanent de développement. _19 crans d'accéder à 3 points de progression permanent. Que les crans intermédiaires ne rajoutent pas de points, mais des vitesses d'acquisitions. Mais cela ne nous dit pas en combien de temps. Ce sont des variables qui seront fluctuantes selon l'implication de ses capacités, de son environnement, de la gestion de son entraineur. Nous ne le constatons à postériori que lorsque le chiffre de l'attribut change ! Cela renforce par contre la recommandation de Marc Vaughan, la constance est payante. Junior et semi - pros 7, 13, 19 sont des points de références intéressants, pas une fatalité immuable. On le voit sur la progression des jeunes et des semi pros. Car limités par le volume général possible, ils progressent malgré tout. C'est le fait de leur pratique en match. La prédominance des ateliers physiques au besoin de la condition du joueur, ou du développement des jeunes s'ils s'approchent de 13, laissent peu de place, souvent en dessous de 7 aux autres ateliers. Force et Aérobic C'est ici que l'on distingue les deux ateliers physiologiques. C'est l'atelier Force qui possède les attributs déclencheurs. On dira que l'Aérobic est constituée des ateliers techniques de la Force. C'est donc l'atelier Force qui est privilégié pour les semi pros ou les vétérans après 28 ans. Car ils en ont besoin pour l'obtention de la condition. Dans sa page État d'esprit, le joueur peut se plaindre aussi d'un entrainement inadapté. Un manque de l'atelier Force peut en être souvent la cause. Alors, même s'il ne progressera plus dans ces attributs, il n'y a pas de rémission pour la Force. Les jeunes eux, ont besoin des deux ateliers, puisqu'ils courent en priorité après leurs développements jusqu'à 24 ans.
Le coût des ateliers Dans le volume général d'entrainement, le coût des ateliers diffère. Il y a 3 familles:_ Les 2 ateliers physiologiques, Force et Aérobic : facteur de 6 environs._ les 6 ateliers techniques, Gardien, Tactique, Contrôle du ballon, Défense, Attaque, Tirs : facteur de 2 environs_ L'unique atelier, Cps pd arrêtés : facteur de 1 environs.(Sous réserve de variations sensible du dernier opus, mais le principe reste similaire) Cela ne veut pas dire qu’il faut 6 fois plus de coups de pied pour obtenir la même intensité qu'à la Force. Un cran vaut un cran en termes de gain. Simplement au titre du volume générale, les physiologiques coûtent 6 fois plus. L'intérêt de le savoir, réside lorsque l'on réduit le volume général de l'entrainement. Car pour soulager ce général en descendant les ateliers un par un, on sait que pour le même résultat, si l'on descend un cran d'atelier physio, il en faudra 3 pour un atelier technique, ou un dans 3 ateliers techniques, et 6 pour les coups de pieds.
Comment programmer un entrainement ?
Gardiens et joueur de champs
Les gardiens n'ont pas besoin de s'entrainer aux 3 ateliers Défense, Attaque et Tirs Les joueurs de champs n'ont pas besoin de s'entrainer à l'atelier Gardien. Ces vertus cachés se développeront seules et naturellement avec le temps. Cela offre plus de volume général aux Gardiens.
Le réglage du jeu Si l'on suit le protocole de l'étude, en plaçant tous nos curseurs sur 13, cela laisse peut de place aux variations. On peut même tout mettre à 14 environs (ou 15 mais pas pour tous). Un peu plus pour les gardiens, car ils ont moins d'ateliers. Cela simplifie le schéma ! Et propose un entrainement linéaire. Ce qui correspond à 2 ou 3 crans en plus que le principe d'entrainement général du jeu pour l'exploiter à son maximum. Qui voudrait faire autre chose que de progresser dans tous les registres ?
La spécialisation par poste
Il y a d'autres arguments. Faire des choix préférentiels dans les ateliers a plusieurs handicaps. Dans le meilleur des cas, cela va donc ralentir, stopper, ou faire régresser certains aspects du joueur au bénéfice d'autres, censés répondre aux qualités requises pour son rôle, son poste, favoriser notre tactique. Mais est ce bien vrai ? Tous les attributs du jeu fonctionnent par association, et ses attributs complémentaires, leurs ratios d'efficacité en dépendent. Hors ces attributs sont dispersés dans les différents ateliers... En sacrifier un reviendrait à marcher sur une jambe. Si le joueur est à ce poste, c'est sans doute qu'il possède déjà soit les qualités, soit le potentiel pour. Faire un entrainement linéaire n'en changera pas le potentiel. Il n'y a pas d'action de jeu qui ne demande à tout les joueurs, quelque soit son poste, un minimum de qualités, quelles soient offensives, ou défensives. Le temps d'acquisition nous est inconnu et dépend de nombreux facteurs liés aux contextes et à notre gestion. Et les adaptations stratégiques indispensables en match et au cours de la saison en font varier constamment les besoins et les préséances. Mais l'empêchement de la spécialisation dans ce jeu, ne se nourrie pas seulement d'un débat sur les avantages de la versatilité, quoi qu'elle semblerait avantageuse, autre argument. Mais que nous ne pouvons pas savoir à l'avance 2 choses essentielles : La capacité de l'environnement du club à diffuser l'enseignement supposé de l'entrainement. La capacité du joueur à le recevoir. Qui sont, si cela ne suffisait pas, des variables fluctuantes, motivés par une multitude de vecteurs.
Les graphismes du niveau d'entrainement
Viennent parfaitement l'illustrer. Cela ne nous indique pas ce que nous faisons, mais ce que le joueur fait. Où doit-on dire, peut faire ? A moins que ce ne soit, ce que l'environnement peut lui fournir ? ... Ce qui veut dire, qu'en cherchant une spécialisation quelconque par son jeu de préférence, on risque une double punition : de brimer le joueur dans un domaine ou il aurait pu progresser, et de le faire travailler à vide dans un registre, ou soit le joueur n'a pas les aptitudes à recevoir plus, ou quand bien même que le contexte n'ait pas à le lui offrir. Comme nous ne sommes pas en possibilité d'affirmer ni l'un, ni l'autre; la voie du juste milieu est notre seul recours. Il y a qu'une option de certitude, par Génie Scout, qui peut nous indiquer quels attributs ont déjà atteins leurs maximums. Alors on peut se contenter d'un entretien, à condition que ce soit le cas pour tous les attributs contenus dans un même atelier; et favoriser un peu plus les autres.
Les effets de l'entrainement
Les premiers effets ne commencent réellement à se faire sentir qu'a partir du 2e mois après le retour de vacances. Donc cela ne vaut la peine de prendre la température qu'au terme du 3e mois. D'où le principe de la constance. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas modérer la condition et l'état d'esprit ... C'est le principe général qu'il ne faut pas bouleverser.
La zone d'ombre Il y a ici 2 informations que donne Marc Vaughan dans son Hints and Tips 2007 (et depuis rien n'est venu le remettre en cause), qui laisse une voie à l'interprétation. Il dit que lorsque, une des barres du graphisme atteint son maximum, cad tout en haut, c est que le joueur à atteint son maximum. Mais lequel ? De ses attributs compris dans cet atelier de façon définitive ? Ou des possibilités du moment ? Acquis ou à acquérir, en phase d'acquisition ? La seconde, que chaque barre graphique complète, maximale, représente 4 à 6 points d'habileté. Obtenu sur la saison ? Dans tous les attributs de l'atelier ? Ou à obtenir en continuant cet entrainement dans cette voie ? Il dit aussi que dans une même barre graphique à 10 %, tous les attributs qu'elle recèle n'ont pas forcement le même taux de développement, certains peuvent être à 8 %, lorsqu'un autre est à 12 % ... C'est une moyenne. Une lecture à postériori Mais nous avons quelques indices ... Le graphisme nous indique ce que le joueur à fait le mois précèdent. Cliquer sur les barres d'atelier du graphisme pour faire defiler l'evolution du travail du joueur pendant la saison. Lorsque la barre est au maximum c'est qu'il à utiliser l'entrainement diffusé par l'atelier au mieux des possibilités. En regard de notre réglage cela signifie que le rapport entre ce reglage et les potentialités joueur/contexte ont été optimisés. Si la barre est au minimum bas, c'est qu'il ne pourra pas faire mieux. Il faut alors verifier plusieurs indices :; Le joueur a t - il atteint le maximum de ses attributs ( avant 28 ans ), la plénitude de ses objectifs ? Apres 28 ans les attributs techniques se repartissent selon nos reglages, méfiance ! Ou bien, notre réglage à empecher son developpement ? A moins que ce ne soit une limitation du coach, qui ne peut pas lui apprendre plus. Pour quelles raisons ? Compétences du coach, trop de travail pour le coach à l'atelier ? Ou limitation des structures ? Mais il peut y avoir une autre cause lié à la limitation general pouvant être accepté par le joueur. Nous n'avons pas suffisament encouragés cet atelier, et donnés trop aux autres. l'equilibre et la repartition n'est pas correct. Pour le verifier il faut regarder si les notes de cet atelier sont à la baisse. Si les notes sont stables mais que le graphisme est bas, alors tout va bien, il a simplement remplis ses objectifs potentiels.
La condition du joueur et l'entrainement individuel
La disparité des capacités de chaque joueur, ses performances et son historique personnel, ne nous laisse pas d'autre choix que l'entrainement individuel. Tout se gère alors par la condition du joueur. Notre gestion consiste à nous assurer du parfait maintien en condition du joueur, tout au long de la saison. Notre étalon de référence est son % de condition le jour du match suivant. Ou, il est lui - même sélectionné, bien sûr. Il faut que le jour du match suivant, il ait récupérer 100 % de condition, afin d'être prêt pour son match. Si ce n'est pas le cas, il faudra réduire le volume général de son entrainement. S’il récupère 100 % avant le jour du match, on pourra alors l'augmenter.La règle strict du tâtonnement Comme nous savons que chaque joueur possède un agrégat de caractéristiques spécifiques, aucunes règles strictes ne peuvent se formuler en fonction d'un % manquant de condition. C'est la ou les manuels généralement nous dispensent leurs sentences : apprenez à connaitre vos joueurs ... La réduction du volume générale, peut se faire en réduisant un seul atelier à la fois, ou plusieurs et observer effectivement ces effets sur le joueur. Oui, mais lesquels ou lequel choisir ? C'est la ou l'on peut faire une concession volontaire à la spécialisation par choix. Aussi selon l'importance du taux de % manquant, en regard aux coûts des ateliers. Il est difficile d'estimer des rapports entre % de condition et crans ou même coût des ateliers. Est ce qu'un coût de facteur 6 aux ateliers physio compensera 6 % de condition ? C'est toujours la même rengaine, cela dépendra de l'ensemble des capacités de chaque joueur ... Mais on peut essayer ! Comme idée de départ. Parce que, s'il manque 10 % ou 1 %. Dans le 1 %, je regarderai éventuellement plutôt du côté des coups de pied arrêtés ... Rappelons nous aussi ici, les priorités des tranches d'âges. Aussi, la primauté de la Force, pour tous, au moins en suffisance. Et lorsque plus rien ne va, c'est sans doute que celui la, fait défaut. Ce qui peut paraître paradoxale, mais n'oublions pas que c'est un déclencheur. Ce qui fait que parfois, les attributs techniques seront horriblement bas, et qu'il faudra conserver un minimum de Force. Mais généralement le joueur va nous en informer dans son état d'esprit.
État d'esprit et Professionnalisme
Le professionnalisme est une note cachée qui est déterminante dans le potentiel de volume d'activité du joueur, autant en match qu'a l'entrainement. Mais à l'entrainement nous avons un indicateur, dans sa page d'entrainement, l'état d'esprit. Si son commentaire se plaint d'un trop d'entrainement, il faut réduire le volume général jusqu'à ce qu'il ne le signale plus. En l'occurrence c'est ici que la conservation de la force par nécessité de condition, se fera au détriment des ateliers techniques. Son développement se fera plus lentement mais plus surement, et aussi par les effets induits des matchs. C'est ainsi ! Il n'est pas professionnel et vous n'y pouvez rien. Rien d'autre comme entraineur avisé que de le contenter. Ne pas en tenir compte n'améliorera pas les effets sur sa progression, mais par contre allumera un facteur de perte de moral. Ce qui ne se verra peut - être pas, tout de suite. Il peut afficher bon moral pour des causes externes favorables. Comme la fatigue, les effets du moral sont des facteurs cumulatifs. On en constate les changements chaque mois au moment de la publication du rapport d'entrainement mensuel de l'adjoint. (La plupart du temps) Malheureusement, plus la saison avance, plus son taux d'insatisfaction sera grandissant. Il faut donc vérifier tout le monde chaque mois sur cet aspect. Même si vous aviez appliqué une modération qui aurait du être satisfaisante le mois précédent. Il se peut que vous couriez après, toute la saison. Un joueur parfaitement satisfait la plupart du temps, pourrait se révéler soudainement insatisfait en cours de saison ! Mais peut être que vous constaterez que cela pourrait bien correspondre en même temps à la capacité de récupération du joueur qui s'étiole aussi avec l'avancée de la saison. En en traitant un, vous favorisez indirectement positivement l'autre. Toujours ... Selon les joueurs ! Pour illustrer ce propos, on pourrait revenir à celui du préambule, le volume d'entrainement dont le joueur se serait "remplis" en vertu de son potentiel d'acquisition.
En résumé
Entrainement individuel Réglages d'ateliers linéaire, cad tous les ateliers au maximum et de façon équitable. Régulation permanente du volume générale de l'entrainement, selon la condition du joueur le jour du match suivant. Le choix de la diminution des ateliers pour réduire le volume au choix et l'observation de chacun, à défaut de meilleurs informations. Conserver un minimum d'atelier Force après 24 ans, ainsi aux joueurs sous contrat semi - pros et aux mécontents récurrents. Favoriser les 2 ateliers Physiques aux moins de 24 ans Chaque mois vérifier l'état d'esprit de chaque joueur
En conclusion
La gestion individuelle de la condition du joueur d'une sélection à l'autre, par la modération du volume d'entrainement, est la clef. La clef pour exploiter au mieux ses facultés autant en match qu'à l'entrainement. Pour obtenir son meilleur ratio de progression, en minimisant ses risques de blessures. Cela bien sur, en s'assurant du maintien d'un parfait moral du joueur, en commençant, au titre de l'entrainement par celui de son état d'esprit. Et au delà d'une façon générale. Car sans moral plus de progression et mauvaises prestations. Sans évoquer son risque de propagation ...; Sans oublier une bonne rotation, avec les qualités physiques naturelles en ligne de mire. Trop de matchs ruinent les qualités potentielles du joueur; pas assez, tout autant.
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